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Teamtan'esc - JO d'hiver - Vancouver

1 mars 2010

JO- Samedi 27 février et dimanche 28 février (cloture)

Mathieu Bozetto offre à la France sa 11 ème médaille ce qui lui permet d'égaler sa performance lors des jeux de Salt Lake City.

matthieu_bozzetto_en_action

Il termine 3 ème du slalom parallèle en Surf

Le Canada termine en tête des médailles et remporte 14 médailles d'or (un record) et un dernier succès en Hockey sur glace !

La France quant à elle termine 12 ème, mais le les skieurs tricolores ont bien décu.. (0 médaille)

Rendez-vous dans 4 ans pour encore plus de spectacle !

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27 février 2010

JO- Vendredi 26 février

14 ème épisode des Jeux Olympiques de Vancouver et encore aucune médaille pour la France qui reste donc à 10 médailles.

Julien Lizeroux, vice-champion du monde de slalom, est le mieux placé pour éviter au ski alpin français de rentrer bredouille.

Lizeroux

Steve Missillier, Maxime Tissot et Thomas Mermillod-Blondin sont aussi alignés.

Autre espoir de médaille, avec les snowboardeurs, engagés en géant parallèle. Mathieu Bozzetto vise enfin une première médaille, pour ses quatrièmes JO.

matthieu_bozzetto_en_action

Les principaux résultats de la journée:¨

Patinage artistique individuelle femme

Saut acrobatique Tremlin Homme

Classement final -  26 février 6h00

Y. KIM  (CDS)
228.560

M. ASADA  (JAP)
205.500

J. ROCHETTE  (CAN)
202.640

Finale -  26 février 3h00

A. GRISHIN  (BLR)  (120,58 points + 127,83 points)
248.410

J. PETERSON  (USA)  (118,59 + 128,62)
247.210

Z. LIU  (CHN)  (119,91 + 122,62)
242.530

A suivre dès ce soir:

  • Curling finale Femme
  • Hockey Homme demi finale Homme
  • Ski alpin slalom Homme
  • Ski de fond 30 kms classique Femme
  • Snowboard slalom géant parallèle Femme

La france est 12 ème au tableau des médailles

Retrouvez la vidéo rétrospective de la journée grâce à lequipe.fr

http://vancouver2010.lequipe.fr/Aussi/breves2010/20100227_092447_le-journal-des-jeux-en-video.html

A demain pour de nouveaux résultats :)

27 février 2010

JO- Jeudi 25 février

13 ème jour des JO et de nouveaux une journée sans médaille pour la France

Le ski alpin français devra encore attendre pour sa première médaille.

Taïna Barioz, 2e de la première manche du slalom géant,

taina

n'a finalement pris que la 9e place de l'épreuve, remportée par la jeune Allemande Viktoria Rebensburg

- Le champion olympique français de combiné nordique, Jason Lamy-Chappuis, victime de conditions météo très défavorables au saut, a terminé 18e du concours sur grand tremplin

Jason_LamyChapuy

remporté par l'Américain Bill Demong, devant son compatriote Johnny Spillane.

La Sud-Coréenne Kim Yu-na a surclassé le concours de patinage artistique pour se parer d'or.

En ski de fond, la Norvégienne Marit Bjoergen s'est offert sa troisième médaille d'or des JO (sa 4e en tout) en s'imposant avec ses coéquipières lors du relais 4 x 5km. La France finit 7e.

Les principaux résultats de la journée:

Combiné nordique individuel Homme

Classement final -  26 février 0h00

B. DEMONG  (USA)  (6e à 46")
25'32"9

J. SPILLANE  (USA)  (2e à 34")
25'36"9

B. GRUBER  (AUT)  (Parti 1er)
25'43"7

Ski acrobatique tremplin Femme

Finale -  25 février 4h30

L. LASSILA  (AUS)  (106,25 + 108,49)
214.740

N. LI  (CHN)  (99,40 + 107,83)
207.230

X. GUO  (CHN)  (98,82 + 106,40)
205.220

Ski de fond relais 4x5 équipe femme

Finale -  25 février 20h00

NORVEGE ( V. SKOFTERUD, T. JOHAUG, K. STEIRA, M. BJÖRGEN)
55'19"5

ALLEMAGNE ( K. ZELLER, E. SACHENBACHER-STEHLE, M. GOSSNER, C. NYSTAD)
55'44"1

FINLANDE ( P. MURANEN, V. KUITUNEN, R. ROPONEN, A. SAARINEN)
55'49"9

A suivre dès ce soir :

  • Biathlon relais 4x7,5 km Homme
  • Bobsleigh equipe 4
  • Hockey sur glace finale Femme, demi-finale Homme
  • Ski acrobatique tremplin homme
  • Snowboard, slalom géant parallèle femme

La france est 12 ème au tableau des médailles

Retrouvez la vidéo rétrospective de la journée grâce à lequipe.fr

http://vancouver2010.lequipe.fr/Aussi/breves2010/20100226_105118_le-journal-des-jeux-en-video.html

A demain pour de nouveaux résultats


25 février 2010

JO- Mercredi 24 février

12 ème journée des Jeux Olympiques de Vancouver et aucune médaille pour la France.

Le fond masculin français rentrera sans médaille de Vancouver. Les relayeurs ont terminé
4ème du 4 x 10 km remporté par la Suède.

ski_de_fond

- La Française Taïna Barioz a signé une très belle 2e place lors de la première manche du géant, mais la 2e session a été reportée à jeudi en raison du brouillard.

taina

- Thibaut Fauconnet a fini en tête de sa série du 500 m en short track, et se qualifie pour les quarts de finale. Chez les femmes, cette fois sur 1 000 m,

thibault_fauconner

Stéphanie Bouvier a elle aussi franchi l'obstacle des séries et disputera les quarts.

stephanie_bouvier

Focus sur le Ski Alpin:

Le principe de gravir un sommet pour le descendre à ski le plus rapidement possible a été inventé plusieurs fois de manière indépendante :

  • La première descente est organisée en Californie, à La Porte en 1866 par des chercheurs d'or émigrés, pour la plupart de Norvège.
  • En 1906, les Autrichiens organisent la descente du Horn.
  • En 1911 les Anglais partent en ligne du sommet du Wildstrubel à Montana en Suisse.

Cependant le ski alpin est organisé comme un véritable sport par un anglais, Arnold Lunn, qui fait de premiers essais en 1897 à Chamonix alors qu'il n'a que dix ans.E.C. Richardson, « le père du ski britannique », fonde en 1903 le Ski Club of Great-Britain qui initie les élèves des public schools britanniques aux sports d'hiver dans les Alpes. Le ski alpin est déjà au programme. La Roberts of Kanadahar Challenge Cup est une compétition de ski alpin mise en place en 1903. Dans la grande tradition britannique, ces épreuves sont réservées aux seuls Britanniques. Ainsi, dès l'après Grande Guerre, Lunn met en place dans les Alpes les premiers championnats britanniques de ski alpin, « sous le regard incrédule des autochtones ».

Il faudra attendre 1929 pour assister aux premiers championnats d'Autriche ; 1930 en Suisse et 1931 en France. Toutes ces dates concernent jusque là exclusivement la descente. Le premier slalom est disputé le 21 janvier 1922 à Mürren. C'est alors plus une épreuve de style que de vitesse.

Parmi les autres initiateurs du ski alpin, citons l'Autrichien Mathias Zdarsky qui publia en novembre 1896 un ouvrage de techniques de ski dans lequel il reprend essentiellement les anciennes techniques norvégiennes (ski de fond et Télémark principalement) sur le modèle de l'ouvrage À ski à travers le Groenland du Norvégien Fridtjof Nansen, publié en 1888. Zdarsky prône notamment l'utilisation d'un seul grand bâton, comme le faisaient jadis les Norvégiens, alors que l'usage des deux bâtons se généralise en ski de fond dès la fin des années 1880.

En 1924 sont créées la Fédération internationale de ski (FIS) et la Fédération française de ski (FFS), année où sont organisés les premiers Jeux olympiques d'hiver à Chamonix. Toutefois, ces organismes ne reconnaissent pas le ski alpin et le terme « ski » est réservé exclusivement pour désigner le ski nordique. Seul le ski nordique est d'ailleurs présent au programme de ces premiers rendez-vous internationaux qui furent reconnus plus tard comme les premiers Jeux olympiques d'hiver. De même, le fameux Premier concours international de sports d'hiver organisé à Montgenèvre du 10 au 12 février 1907 par l'USFSA ne concernait que le ski nordique.En 1928, la première "Classique" du ski alpin eut lieu à St Anton - l'Arlberg Kandahar - sous l'autorité de Lunn et de son ami Hannes Schneider.

L'Anglais Arnold Lunn présente au congrès de la FIS à Saint-Moritz en 1928 un projet d'intégration du ski alpin, encore très largement inconnu même dans les milieux sportifs. Cette motion est repoussée en raison d'une opposition catégorique des pays nordiques.Lunn ne se décourage pas, et présente une nouvelle demande en 1930 à Oslo. Les pays nordiques se montrent moins catégoriques et autorisent la création de compétitions tests, mais sont toujours hostiles à l'admission du ski alpin au programme olympique. Lunn peut ainsi organiser la première édition des championnats du monde à Mürren en 1931 sous l'accord de la FIS. Le CIO suit et intègre finalement le ski alpin aux Jeux olympiques de Garmisch-Partenkirchen en 1936. Seules les épreuves du combiné alpin (descente/slalom) donnent cependant droit à des médailles olympiques. Les titres et les médailles d'or reviennent à Franz Pfnür et la légendaire Christl Cranz(Grossdeutschland). Le Norvégien Birger Ruud, un sauteur, établissait le meilleur temps dans la manche de descente devant Pfnür qui dominait le parcours de slalom. Le Mégevan Emile Allais terminait 3ème du combiné ce qui lui rapportait la médaille de bronze.

Chez les femmes, une autre Norvégienne, Laila Schou-Nilsen, était la plus rapide en descente mais Cranz se révélait hors d'atteinte en slalom.

FixationSkiAlpin

Les courses d'un jour comme celles proposées aux Jeux olympiques ou aux Championnats du Monde sont parfois injustes. Afin de pallier cette carence, la FIS a soutenu lors de son Congrès de Beyrouth la projet de la Coupe du Monde lancé en août 1966 par Serge Lang et ses amis, dont l'ancien Président Marc Hodler, lors des Championnats du Monde de Portillo. Des points étaient attribués aux premiers des courses retenues dans le calendrier international et un classement général récompensait ensuite le coureur le plus complet de l'hiver en fin de saison. Elle intégra au cours de son histoire l'Arlberg-Kandahar et les autres « Classiques » comme le Lauberhorn de Wengen, dans l'Oberland bernois suisse ou le Hahnenkamm de Kitzbühel, dans le Tyrol autrichien. Les étapes françaises les plus connues sont celles de Val d'Isère (Critérium de la 1ère Neige), de Chamonix (Kandahar) ou de Megève (Grand Prix Émile Allais).

Il existe cinq disciplines en ski alpin qui sont courues chaque année de novembre à mars en coupe du monde de ski alpin et sont toutes présentes aux Jeux olympiques d'hiver et aux championnats du monde de ski alpin. Ce sont des courses contre la montre, le skieur déclenche lui-même le chronomètre par l'ouverture d'un portillon et l'arrête au franchissement d'une cellule photo-électrique. Le coureur descend un parcours dessiné par des portes délimitées par deux piquets, il doit franchir toutes les portes.

ski_alpin

Descente

Cette discipline est créée par Arnold Lunn en 1911 à Montana en Suisse. La descente est la plus vieille discipline sportive du ski alpin et est surnommée aujourd'hui la « discipline reine ». C'est la discipline la plus rapide et ses parcours sont les plus longs des épreuves de ski alpin. La descente combine la vitesse à l'état pur, une maîtrise technique et un courage à toute épreuve. Aujourd'hui, les descendeurs atteignent dans leur course des vitesses de pointe de plus de 140 km/h. Le dénivelé est de l'ordre de 800 m à 1100 m pour les hommes et de 500 m à 800 m pour les femmes, des portes sont très larges, matérialisées par deux banderoles soutenues par des piquets. Des virages larges, des sauts, des compressions et de grandes lignes droites dessinent le parcours en fonction du modelé du terrain. De par le danger d'une telle course, les skieurs doivent s'entraîner plusieurs fois sur le parcours avant la course (cela n'est vrai qu'en descente). Le vainqueur est celui qui réalise le temps le plus rapide. La largeur minimale d'une piste doit être de 30 mètres.

La moindre petite erreur à ces vitesses et sur de tels parcours engendre souvent des chutes spectaculaires, des blessures et exceptionnellement des décès. La piste la plus célèbre est assurément la Streif à Kitzbühel, en Autriche. La Streif est une piste extrêmement exigeante techniquement et physiquement, sur laquelle seule une descente hommes est organisée. Les coureurs atteignent généralement les vitesses les plus rapides du circuit (entre 140 et 150 km/h) sur la piste de Wengen, en Suisse. Les mesures de sécurité ne cessent de s'accroitre depuis la fin des années 50. Les arbres sont protégés par de grandes bâches, on utilise aussi des filets qui sont placés tout le long de la piste. La neige est préparée de nombreux jours avant, afin qu'elle soit suffisamment lisse et glacée.

Slalom

Christel Pascal en slalom

« Slalom » dans le dialecte de Morgedal norvégien slalåm: « sla », qui signifie « colline légèrement incliné », et « låm », c'est-à-dire « après avoir suivi les skis ».

Le premier slalom (ou slalom spécial) apparut en janvier 1922 à Mürren. Il s'agit de l'épreuve la plus technique. Les slalomeurs ont besoin d'être agressifs, rapides et agiles. Les parcours de slalom sont les plus courts, mais ils comportent le plus grand nombre de portes et les portes les plus étroites. Elles sont espacées de 4 à 15 mètres et on en compte entre 40 et 75. Les portes sont matérialisées par deux piquets simples, mais les piquets, montés sur rotule, peuvent être basculés par le skieur. Le dénivelé pour les épreuves masculines varie entre 180 m et 220 m, tandis qu'il est de 140 m à 200 m pour les dames.

L'épreuve comporte deux manches disputées sur des parcours différents. Le skieur qui obtient le meilleur temps combiné des deux manches remporte l'épreuve.

L'avènement des skis paraboliques ces derniers années a rendu le slalom beaucoup plus technique. En effet, les nouvelles formes des skis permettant de réduire le rayon des virages, les portes de slalom ont tendance à être rapprochées tout en conservant l'écartement transversal. Il en résulte des virages plus courts que seuls les skis paraboliques permettent de suivre tout en conservant une vitesse et une relance en sortie de virage importante.

Slalom géant

Le slalom géant (ou géant), qui apparaît en 1950 aux championnats du monde de ski alpin à Aspen, est une discipline technique comme le slalom mais qui est plus rapide. Les portes sont composées de deux piquets reliés par une banderole de couleur bleue ou rouge.

Quoique d'apparence moins technique que le slalom, le slalom géant requiert une grande précision, un bon sens du rythme et une bonne puissance pour aborder au mieux chaque virage. Comme son nom l'indique, le parcours d'un slalom géant est plus long que celui d'un slalom. Les portes sont également plus espacées, ce qui donne des virages plus larges. Le dénivelé peut atteindre 450 m pour les hommes et 400 m pour les femmes. Les skieurs doivent franchir un minimum de 30 portes distantes les unes des autres d'au moins dix mètres.

L'épreuve officielle comporte maintenant deux manches, disputées sur deux parcours différents. Le skieur qui obtient le meilleur temps additionné des deux manches l'emporte. Le slalom géant se disputait sur une seule manche jusqu'à la fin des années 60.

Slalom super géant

Le slalom super géant (familièrement appelé « Super G »), créé en 1982 par un groupe d'experts - dont Toni Sailer, le triple champion olympique autrichien de 1956, Serge Lang et Peter Baumgartner (SUI) - est, avec la descente, une des deux disciplines de vitesse. Les portes sont quasiment les mêmes que celles du slalom géant et de la descente. C'est un compromis entre la descente et le slalom géant, ce qui le rend plus technique que la descente mais plus rapide que le slalom géant. Les participants doivent donc être très précis à haute vitesse pour enchaîner de grandes courbes. La dénivellation en slalom super géant est légèrement moindre qu'en descente, mais le parcours est préparé sensiblement de la même façon. Contrairement à la descente, les compétiteurs ne peuvent pas s'entraîner à pleine vitesse sur le parcours avant la course officielle. Comme ils disposent d'un temps de reconnaissance restreint, ils doivent savoir mémoriser rapidement tous les paramètres techniques de la course.

Le premier slalom super géant, gagné par le Suisse Pirmin Zurbriggen, fut testé sur les pentes de l'Alta Badia, dans les Dolomites italiennes, en décembre 1981 avant d'être introduit en décembre 1982 par le comité Coupe du Monde de la FIS à l'occasion du Critérium de la 1re Neige de Val d'Isère. Le tout premier vainqueur en coupe du monde était le Suisse Peter « Pitsch » Müller, champion du monde de descente ensuite en 1987 à Crans-Montana.

Combiné

Cette épreuve a été créée pour la première fois aux championnats du monde de ski alpin de 1932. Autrefois, seul le combiné descente-slalom comptait. Puis, les disciplines ont été séparées, avec des titres décernés pour la descente, le slalom, et le combiné de ces deux disciplines. Désormais le combiné - renommé Super-combiné - est une discipline à part entière puisque les participants doivent réaliser une manche de descente puis une manche de slalom dans la même journée. Le total cumulatif des chronos des deux manches détermine le classement final. Cette épreuve permet de mettre en valeur les skieurs polyvalents qui savent jouer de leur vitesse dans la descente et rivaliser d'adresse et de technique dans le slalom.

Absent du programme des Jeux olympiques d'hiver de 1952 à 1984 inclus, le combiné alpin a été réintroduit aux Jeux à Calgary en 1988. Il y a très peu de combinés lors d'une saison, car il est rare que les épreuves techniques et de vitesse aient lieu le même week-end. Le combiné était à nouveau redevenu une épreuve indépendante lors des Mondiaux de Schladming, en Autriche, en 1982. Le Français Michel Vion et la Suissesse Erika Hess s'y imposèrent alors. Le calendrier Coupe du Monde comprend dorénavant plusieurs Super-combinés et un globe de cristal vient aussi récompenser les athlètes les plus brillants dans cette discipline sur l'ensemble de la saison.

Freestyle

Le ski freestyle est une discipline du ski alpin considérée comme un sport extrême. Souvent confondu avec le ski acrobatique (appelé « freestyle skiing » en anglais), le ski freestyle est une nouvelle discipline apparue à la fin des années 90, issue de plusieurs autres disciplines comme le ski de bosses, le skicross, le half-pipe ou le saut acrobatique.

Le ski freestyle est pratiqué dans des zones spéciales appelées snowparks ou en hors piste (on parle alors de backcountry). Il consiste a effectuer des figures à partir de structures en neige ou en métal.

Le skieur qui pratique le ski freestyle est appelé freestyleur, ou plus généralement rider.

Source: wikipedia

Les principaux résultats de la journée:

Patinage 5000 mètres Femme

Finale -  24 février 22h00

M. SABLIKOVA  (RTC)
6'50"91

S. BECKERT  (ALL)
6'51"39

C. HUGUES  (CAN)
6'55"73

Ski de fond relais équipe 4X10 km Homme

Finale -  24 février 20h15

SUEDE ( D. RICHARDSSON, J. OLSSON, A. SÖDERGREN, M. HELLNER)
1h45'05"4

NORVEGE ( M. JOHNSRUD SUNDBY, O. HJELMESET, L. BERGER, P. NORTHUG)
1h45'21"3

REPUPLIQUE TCHEQUE ( M. JAKS, L. BAUER, J. MAGAL, M. KOUKAL)
1h45'21"9

FRANCE ( J. GAILLARD, V. VITTOZ, M. MANIFICAT, E. JONNIER)
1h45'26"3

A suivre dès ce soir:

  • Slalom géant Femme 2ème manche
  • Combiné nordique individuel Homme
  • Curling demi finales Homme et Femme
  • Short track Femme et Homme
  • Ski acrobatique tremplin Femme
  • Ski de fond relais 4x5 kms Femme

La France est 12 ème au classement des médailles

Retrouvez la vidéo rétrospective de la journée grâce à lequipe.fr

http://vancouver2010.lequipe.fr/Aussi/breves2010/20100225_085656_le-journal-des-jeux-en-video.html

A demain pour de nouveaux résultats !

24 février 2010

JO- Mardi 23 février

11 ème épisode des Jeux Olympiques de Vancouver, et enfin des médailles pour la France ! 2 pour cette journée, 1 d'argent et 1 de bronze même si cette dernière était vivement attendue en OR.

La première médaille a été remportée en biathlon par le relais par équipe féminin qui termine 2ème malgré 2 tours de pénalité (la France est la seule équipe a en avoir pris)... rageant. La médaille d'or était peut-être à portée.

biathlon_equipe_femme

La seconde médaille de la journée est à mettre à l'actif de Marion Josserand qui vole la vedette à sa compatriote française.

marion_josserand

En effet Ophelie DAVID, 33 anspourtant favorite, n'a pas terminé son quart de finale... décevant

ophelie_david

Focus sur l'épreuve de Hockey sur glace:

Le hockey sur glace, appelé le plus souvent hockey, est un sport d'équipe dont la compétition se déroule sur une patinoire spécialement aménagée. L'objectif est de marquer des buts en envoyant un disque de caoutchouc vulcanisé, appelé palet ou rondelle, à l'intérieur de la cage adverse. La cage de chaque équipe est situé dans son propre camp, à une extrémité de la patinoire. L'équipe, qui comprend un gardien de but et cinq joueurs de champ, se déplace à l'aide de patins et manipule la rondelle à l'aide d'une crosse (terme utilisé en France), également appelée bâton de hockey (Canada) et canne de hockey (Belgique et Suisse).
Le hockey est originaire du Canada et s'est développé à la fin du XIXe siècle en Amérique du Nord. Sport de vitesse, il est souvent surnommé « sport collectif le plus rapide du monde »

hockey

Depuis l’antiquité, l’homme a joué à des jeux où un objet était frappé avec un bâton incurvé. Par exemple, une peinture de Pieter Bruegel (père), Les chasseurs dans la neige (1567), montre des joueurs qui utilisent des bâtons courbés pour jouer avec un petit objet sur la glace.

L’utilisation du mot « hockey » pour désigner de tels jeux est attestée depuis 1785 (1527 pour hockie) mais son étymologie est incertaine. Il dérive peut-être du vieux mot français d’origine germanique hoquet (bâton de berger, crochet), ou de l' hokkie hollandais, diminutif de hok (chenil ou cabane et désignant dans ce cas les cages de but). Beaucoup de ces jeux furent développés pour les champs, mais furent joués également sur la glace, comme on le voit sur certaines peintures hollandaises du XVIe siècle. Cependant les origines du jeu moderne se trouvent en Amérique du Nord.

Les immigrants européens ont apporté en Amérique du Nord une multitude de jeux similaires au hockey, tels que le shinty écossais, le hurling irlandais et le hockey sur gazon, joué en Angleterre. Ces jeux semblent avoir été adaptés pour être joués sur la glace, et avoir importé certains aspects du jeu de la crosse (comme la dureté physique) joué par les Amérindiens de la famille iroquoise.

En 1825, Sir John Franklin écrivait : « Le jeu de hockey joué sur la glace était le sport du matin » sur le Grand lac de l'Ours durant une de ses expéditions arctiques. En 1843, un officier de l’armée britannique à Kingston (Ontario) écrivait : « J’ai commencé à patiner cette année, m’améliorant et j’ai eu rapidement un grand plaisir à jouer au hockey ». La Society for International Hockey Research indique, en se référant à un article de la Boston Evening Gazette de 1859, que la première partie de hockey sur glace eut lieu à Halifax cette année-là. La première partie à utiliser une rondelle au lieu d’une balle eut lieu en 1860 sur le port de Kingston entre d’anciens vétérans de la Guerre de Crimée.

Cependant, les villes de Windsor et de Dartmouth, toutes les deux en Nouvelle-Écosse, revendiquent également le privilège d'avoir vu naître le hockey sur glace.

hockey_2

Le hockey sur glace se joue sur une patinoire. Chaque équipe est composée de six joueurs (cinq joueurs de champ et un gardien de but) qui sont équipés de patins à glace. L'objectif est de marquer des buts en envoyant un disque de caoutchouc vulcanisé appelé palet ou rondelle[2], dans le filet adverse, placé à l'autre extrémité de la patinoire. Les joueurs manipulent la rondelle à l'aide d'une crosse de hockey également appelée bâton de hockey.

Les cinq joueurs de champ sont généralement trois attaquants (un centre, un ailier gauche et un ailier droit) et deux défenseurs. Un groupe de trois attaquants forme une ligne d'attaque et une paire de défenseurs forme une ligne de défense. Il existe également des lignes spécifiques aux situations d'infériorité numérique ou de supériorité numérique.

Les changements de ligne peuvent intervenir lors des arrêts de jeu, mais également au cours du jeu (on parle alors de changement volant).

Une équipe de hockey compte une vingtaine de joueurs (quatre lignes d'attaquants, trois ou quatre de défenseurs et deux gardiens de buts).

Certaines charges et certains contacts sont autorisés sur le porteur du disque. Il s'agit, avant tout, de gêner l'adversaire, de le déstabiliser lors de prochains contacts, de le fatiguer et de lui faire perdre le palet. C'est une technique de base au hockey. On parle alors de mise en échec. Toutefois, les actions dangereuses ou contraires aux règles, sont sanctionnées par des pénalités ou punitions. Le joueur fautif doit alors sortir du jeu pour une certaine durée, sans être remplacé.

La bande (ou la balustrade) entourant la glace permet de garder la rondelle à l'intérieur de la patinoire, le jeu pouvant ainsi durer plusieurs minutes sans interruption. Quand l'action s'arrête, le jeu reprend toujours par une mise au jeu (ou engagement). Les deux règles majeures limitant les mouvements de la rondelle sont le hors-jeu, qui stipule que le palet doit entrer dans la zone d'attaque (ligne bleue) avant tout joueur de l'équipe attaquante, et le dégagement interdit, qui interdit a un joueur en défense de dégager le palet derrière la ligne rouge située dans sa zone d'attaque.

Un match dure trois périodes de 20 minutes chacune, l'horloge étant arrêtée à chaque arrêt de jeu. En cas d'égalité à la fin du temps règlementaire, la procédure varie suivant le contexte et suivant les règles spécifiques à chaque championnat. Le match peut alors se poursuivre avec une période de prolongation en mort subite pour déterminer un vainqueur. Si le score est inchangé à l'issue de la prolongation, une séance de tirs de fusillade peut se dérouler.

Un match peut également comporter des combats entre joueurs, combats tolérés ou interdits selon les ligues et les compétitions.

Source: Wikipedia

Les principaux résultats de la journée:

Ski cross-Femme

Finale A -  23 février 23h10

A. McIVOR  (CAN)  OR

H. BERNTSEN  (NOR)  ARGENT

M. JOSSERAND  (FRA)  BRONZE

Relais 4X6 kms equipe-Femme

Finale -  23 février 20h30

RUSSIE ( S. SLEPTSOVA, A. BOGALIY-TITOVETS, O. MEDVEDSTEVA, O. ZAITSEVA)  (0 tour de pénalité + 5 pioches dans les balles de réserve)
1h09'36"3

FRANCE ( M. BRUNET, S. BECAERT, M. DORIN, S. BAILLY)  (2 + 8)
1h10'09"1

ALLEMAGNE ( K. WILHELM, S. HAUSWALD, M. BECK, A. HENKEL)  (0 + 5)

1h10'13"4

Patinage de vitesse: 10 000 mètres- Homme

Finale -  23 février 20h00

S. LEE  (CDS)
12'58"55 RO

I. SKOBREV  (RUS)
13'02"07

B. DE JONG  (HOL)
13'06"73

A. CONTIN  (FRA)

13'12"11

SKI- ALPIN

RangSkieursTemps
1

Carlo JANKA (SUI)
2'37''83
2

Kjetil JANSRUD (NOR)
2'38''22 (+0''39)
3

Aksel Lund SVINDAL (NOR)
2'38''44 (+0''61)

A suivre dès ce soir:

  • Bobsleigh equipe X2 Femme
  • Curling Femme et Homme
  • Hockey sur glace Homme
  • Patinage artistique individuelle Femme programme court
  • Patinage de vitesse Femme 5000 mètres
  • Ski alpin slalom géant FEMME
  • Relais 4X10 kms Homme

Au classement des médailles, la France est 12 ème avec 10 médailles

Retrouvez la vidéo rétrospective de la journée grâce à lequipe.fr

http://vancouver2010.lequipe.fr/Aussi/breves2010/20100224_095333_le-journal-des-jeux-en-video.html

A demain pour de nouveaux résultats :)

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23 février 2010

JO- Lundi 22 février

10 ème jour des JO et de nouveau une journée blanche dans le clan français.

En patinage artistique, le couple Delobel-Schoenfelder se classe finalement 6ème pour leur dernière prestation en couple.

delobel_sh

Victimes d'une chute comme leurs consoeurs, les garçons du fond français, Vincent Vittoz et Cyril Miranda, se sont classées 7 ème du sprint par équipe remporté par la Norvège devant l'Allemagne et la Russie.

vittoz

- Victorieuses de leur demi-finale, les Tricolores Karine Laurent-Philippot et Laure Barthélémy ont terminé 10ème de l'épreuve de sprint.

La france est désormais éliminée en Curling après sa nouvelle défaite 9-2.

Focus sur l'épreuve de CURLING :

Le curling est un sport de précision pratiqué sur la glace avec de lourdes pierres en granite poli.

Le but est de placer les pierres le plus près possible d'une cible dessinée sur la glace, appelée maison.

Il est généralement admis que ce jeu a été inventé au XVIe siècle en Écosse, en dépit de l'existence de deux tableaux de Pieter Bruegel l'Ancien qui représentent des paysans hollandais en train de jouer au curling. Quelle que soit la vérité, le jeu du curling en extérieur était très populaire en Écosse entre le XVIe et le XIXe siècle lorsque le climat était suffisamment froid pour assurer de bonnes conditions de glace lors de chaque hiver.

Cela explique aussi que le siège de la Fédération mondiale de curling soit à Perth en Écosse.

Le curling est un sport officiel des Jeux olympiques d'hiver depuis les Jeux olympiques d'hiver de 1998. Certains considèrent que le curling était déjà une compétition officielle lors des Jeux olympiques d'hiver de 1924 où un tournoi avait eu lieu.

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Le curling avec ses règles modernes a été instauré au Canada. Le « Royal Montréal Curling Club », le premier club sportif de ce genre, a été fondé en 1807. Le premier club aux États-Unis a été fondé en 1832. Ensuite le jeu a été pratiqué en Suisse et en Suède à la fin du XIXe siècle.

En France, le curling est parfois qualifié de pétanque sur glace. Il s'agit d'un usage impropre car ce terme est la traduction française du Eisstock pratiqué en Allemagne, en Autriche, en Suisse et au Luxembourg.

La surface de jeu du curling, ou « piste » est constituée d'une surface glacée de 42,07 m (146') de longueur et d'une largeur allant de 4,3 m (14'2") à 4,75 m (15'7"), préparée avec grand soin pour être la plus plane possible pour permettre aux « pierres », de glisser avec le moins de friction possible. Une des clés de la préparation de cette surface est d'arroser la glace avec de fines gouttelettes d'eau ce qui donne un fini « pelure d'orange » à la glace. Les conditions de jeu ont tendance à évoluer pendant la durée de la partie.

La « maison » comporte une série de cercles concentriques de 3,66 m (12'), 2,43 m (8'), 1,22 m (4') et 0,3 m (1') de diamètre, qui sont peints à chaque extrémité. Le centre de la maison, marqué par la jonction de la ligne de « T » et de la ligne médiane, se situe à 3,66 m (12') des appuie-pieds. Deux autres lignes complètent l'ensemble : la ligne arrière, située en travers de la piste et juxtaposée à l'extrémité extérieure de la maison, et la Hog Line, généralement plus large, celle-ci, toujours en travers de la piste, située à 10,06 m (33') des appuie-pieds.

Des appuie-pieds, appelés normalement hacks, sont fixés sur la glace et servent lors du lancer de la pierre de chaque côté aux extrémités.

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La pierre de curling utilisée pour le jeu pèse 19,96 kg. Elle a une circonférence de 91,44 cm et une hauteur qui doit correspondre à un huitième de celle-ci, soit 11,43 cm. Le poids ne doit pas excéder 19,96 kg (poignée comprise).

Elle est équipée d'une poignée à son sommet qui permet de la faire pivoter avant d'être relâchée

Une particularité des pierres est que leur base n'est pas plate mais concave et la surface de glisse de la pierre est de 6 à 12 mm moins large que la largeur de la pierre. Cette petite différence permet de donner un effet à la pierre qui aura tendance à suivre une trajectoire courbée (les spécialistes disent qu'elle curle). Le degré de courbure dépend de plusieurs facteurs, notamment la préparation de la glace et l'aplatissement de la piste sur les chemins communs vers la maison pendant le jeu. Les raisons physiques de cette trajectoire ne sont pas claires (lubrification par un film liquide ou frottement solide)

Les Écossais, en particulier, estiment que les pierres de curling de la meilleure qualité sont faites à partir d'une variété spéciale de granite, l'ailsite que l'on trouve sur l'Ailsa Craig, une île située à 9 miles nautiques de la côte d'Ayrshire.

Le curling est un jeu d'équipe, pratiqué entre deux équipes de 4 joueurs chacune. Les membres de l'équipe sont nommés selon l'ordre dans lequel ils lancent leurs pierres dans chaque « end » ou « bout ». Le « lead » ou n°1 de chaque équipe lance en premier, suivi du « second » ou n°2, du « third » ou n°3 et du « skip » ou n°4 qui est aussi le capitaine de l'équipe. Cet ordonnancement n'a rien d'obligatoire, et certaines équipes ont d'autres usages. Pendant que les trois premiers lanceurs envoient leurs pierres, le skip se place à l'autre bord de la patinoire pour diriger les joueurs. Lorsque c'est au tour du skip de lancer, c'est le third qui joue ce rôle.

Lorsqu'une pierre est lancée, il y a un joueur qui lance la pierre et un autre à l'autre extrémité de la piste. Les deux joueurs restants suivent la pierre et assistent la trajectoire en balayant la glace avant que la pierre n'arrive, en fonction des directives du skip

Le curling est joué entre deux équipes de quatre curlers. Un jeu consiste habituellement à dix « manches » aussi appelés « ends », et dure en moyenne deux heures. Lors de chaque « manche » les joueurs de chaque équipe ont droit à deux pierres, les joueurs de chaque camp jouant alternativement. Lors du jet de la pierre, celle-ci doit être relâchée au milieu de la piste avant que la hogline (ligne du cochon) soit atteinte (habituellement, les joueurs glissent en même temps qu'ils relâchent la pierre) et doit rejoindre la ligne de fond. Autrement, elle est écartée du jeu. À chaque tir, deux joueurs équipés de balais frottent vigoureusement la glace à l'avancée de la pierre pour modifier sa trajectoire ou augmenter la distance de la pierre. Un joueur placé dans la maison, soit le skip, soit le troisième, indique aux balayeurs s'ils doivent ou non balayer. Le skip demande le balayage pour conserver une trajectoire adéquate, les balayeurs décident de la force à appliquer.

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Source: wikipedia

Les principaux résultats de la journée:

Patinage artistique

Classement final -  23 février 6h00

CANADA 2 ( T. VIRTUE, S. MOIR)
221.570

ETATS-UNIS 2 ( M. DAVIS, C. WHITE)
215.740

RUSSIE 2 ( O. DOMNINA, M. SHABALIN)
207.640

Ski de fond, relais équipe sprint Femme

ALLEMAGNE ( E. SACHENBACHER-STEHLE, C. NYSTAD)
18'03"7

SUEDE ( C. KALLA, A. HAAG)
18'04"3

RUSSIE ( I. KHAZOVA, N. KOROSTELEVA)
18'07"7

SKi de fond, relais équipe sprint Homme

Finale -  22 février 22h25

NORVEGE ( Ö. PETTERSEN, P. NORTHUG)
19'01"0

ALLEMAGNE ( T. TSCHARNKE, A. TEICHMANN)
19'02"3

RUSSIE ( N. MORILOV, A. PETUKHOV)
19'02"5

A suivre dès ce soir :

  • Biathlon, relais Femme
  • Combiné nordique, par équipe, Homme
  • Curling, poules
  • Hockey, phase de qualification Homme, demi-finales Femme
  • Patinage de vitesse Homme 10 000 mètres
  • Ski acrobatique Tremplin Homme, Ski cross Femme
  • Ski alpin, slalom géant Homme

La France reste 12 ème au classement des médailles

Les occasions de briller ne devraient pas manquer ce soir dans le clan français où sont attendus l'équipe de France de combiné nordique, Ophélie David, Alexis Contin ou encore les filles du relais en biathlon.

Retrouvez la vidéo rétrospective de la journée grâce à lequipe.fr

http://vancouver2010.lequipe.fr/Aussi/breves2010/20100223_104928_le-journal-des-jeux-en-video.html

A demain pour de nouveaux résultats ;)

22 février 2010

JO- Dimanche 21 février

9 ème journée des Jeux Olympiques d'hiver de Vancouver et enfin une médaille pour la France, une médaille d'argent cette fois-ci remportée par Martin Fourcade en Biathlon

Martin_Fourcade

C'est la 5ème médaille remportée dans cette discipline depuis le début des jeux, ce qui place la France en tête des performances dans cette discipline.

Il n'en est pas de même en ski et notamment en combiné ou le français Julien Lizeroux a vraiment déçu en ne terminant que 18ème...

Lizeroux

Focus sur l'épreuve de saut à ski :

Le saut à ski (ou saut à skis) est un sport d’hiver dans lequel les skieurs descendent une pente sur une rampe pour décoller (le tremplin), essayant d’aller aussi loin que possible. En addition à la longueur les juges donnent des points pour le style en vol et l'atterrissage du sauteur. Les skis utilisés sont longs et larges.

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Les origines se trouvent en Norvège où la première compétition se tint en 1862. La première grande compétition eut lieu sur le mont Husebybakken à Oslo en 1879. Holmenkollen est aujourd'hui considéré comme la Mecque du ski nordique. Le saut à ski a fait son apparition aux Jeux olympiques, dès la première édition de 1924. Le saut à ski a été pratiqué couramment dès l'apparition du ski dit « norvégien » en Europe continentale à la fin du XIXe siècle et n'est aucunement une discipline récente ou artificielle

Le skieur s'élance du haut d'un tremplin enneigé ou revêtu de matière synthétique, et atteint une grande vitesse dépassant les 90 km/h pour les gros tremplins. À cet instant, il doit donner une impulsion afin d'aller le plus loin possible dans les airs. Cette impulsion est d'une importance capitale, car contrairement aux croyances, le nez du tremplin ne remonte pas. Une fois en l'air, le sauteur, qui a le talon libre, se penche de façon à placer son corps entre ses skis et cherche à obtenir une portance optimale sur l'air. Il se redresse au moment de l'atterrissage, et pour que ses notes de style restent optimales, il doit alors effectuer une « fente » avec les pieds en position dite de « télémark ».

tremplin

On peut distinguer trois phases essentielles qui permettent d'effectuer un saut de qualité :

  • La phase d'élan, sanctionnée par la vitesse obtenue par le sauteur au bout du tremplin. Une bonne vitesse est essentielle pour réaliser un bon saut. Cette vitesse dépend de la position d'élan du sauteur, de son relâchement dans la trace et de son poids, et de la capacité des skis à glisser sur la piste.
  • L'impulsion au bout du tremplin. Celle-ci doit être puissante et réalisée exactement au bon moment.
  • La phase de vol. Elle est déterminée principalement par le poids du sauteur, sa position en vol et la qualité de la transition entre l'impulsion et la position de vol.

On distinguait généralement deux catégories de sauteurs il y a encore 25 ans :

  • Les sauteurs athlétiques ou sauteurs, qui arrivaient vite au bout du tremplin, produisaient une impulsion forte mais obtenaient relativement peu de portance sur l'air de par leur poids de corps important et la trajectoire en cloche de leur vol consécutive à leur forte impulsion.
  • Les sauteurs légers ou voleurs, qui arrivaient moins vite au bout du tremplin, produisaient une impulsion moins forte mais obtenaient beaucoup de portance sur l'air de par leur poids de corps faible et la trajectoire rasante de leur vol, rapide, consécutif à leur impulsion plus mesurée.

À l'heure actuelle, tous les sauteurs sont très légers et ont un indice de masse corporelle faible (le contrôle du BMI a été installé sur le circuit international pour lutter contre l'anorexie). En 2008, tous les sauteurs d'un niveau international ont des détentes sèches d'environ 60 à 70 cm pour des BMI égal à 18,5.(P/T2) soit environ 1M84 pour 63 kilos.

La technique actuelle dite technique en V consiste comme son nom l'indique, une fois en l'air, à mettre les skis en V et non plus parallèlement.

La technique en « V » est apparue grâce à un sauteur suédois du nom de Boklöv qui avait des problèmes sérieux de myopie et n'était pas particulièrement doué pour ce sport. Son entraîneur et lui-même ont développé la technique du « V » qui donnait une meilleure portance sur l'air à Boklöv, lui permettant ainsi de combler ses faiblesses. Cette technique permet en effet un gain de 10% comparée à la technique précédente avec les skis parallèles. Boudée par les juges et les autres sauteurs à ses débuts, cette technique a très vite fait ses preuves et d'autres sauteurs ont commencé à l'adopter.

La totalité des sauteurs de haut niveau utilisent cette technique de vol, à un degré plus ou moins prononcé. Certains accentuent trop leur « V », au point de croiser leurs skis à l'arrière (on parle de technique « en X »), ce qui diminue à nouveau légèrement la portance

Chaque tremplin possède une zone cible d'atterrissage appelé le point K (K-point), c'est une distance de référence comparable au « par » d'un parcours de golf. Pour les compétitions K-90 et K-120, les points K sont respectivement de 90 et de 120 mètres. Le skieur marque 60 points lorsqu'il retombe à la hauteur du point K, chaque mètre au-delà du point K est valorisé par l'ajout de 1,8 point, alors que chaque mètre en dessous est pénalisé par le retrait de 1,8 point, chaque demi-mètre en plus ou en moins rapportant 0,9 point.

Lors de la première compétition en 1879, le record était de 23 mètres. Il faudra attendre 1936 pour voir un saut à plus de 100 mètres et 1957 pour les 150 mètres. En 1994, Toni Nieminen devint le premier sauteur à sauter au-delà des mythiques 200 mètres. Le 20 mars 2005, Bjørn Einar Romøren sauta à 239 mètres sur le tremplin de Planica en Slovénie.

Pour être validé en tant que record , un saut doit :

  • Être effectué dans une manche de coupe du monde, un championnat du monde ou des Jeux olympiques, ainsi qu'aux entraînements officiels (c'est-à-dire avec un jury de compétition) de ces dernières compétitions; cela afin d'éviter que la hauteur d'élan pris par le sauteur ne soit trop importante comparée aux précédentes tentatives.
  • Être tenu, c'est-à-dire que le sauteur ne doit toucher la neige avec aucune partie du corps lors de la réception

    Source: wikipedia

Les principaux résultats de la journée:

Ski combiné Homme

RangSkieursTemps
1

Bode MILLER (USA)
2'44''92
2

Ivica KOSTELIC (CRO)
2'45''25 (+0''33)
3

Silvan ZURBRIGGEN (SUI)
2'45''32 (+0''40

Ski acrobatique Homme

Finale A -  21 février 22h25

M. SCHMID  (SUI)  OR

A. MATT  (AUT)  ARGENT

A. GROENVOLD  (NOR)  BRONZE

Boblseigh - manches

Classement final - 4e manche -  22 février 2h20

ALLEMAGNE 1 ( A. LANGE, K. KUSKE)  (51"59 + 51"72 + 51"57 + 51"77)
3'26"65

ALLEMAGNE 2 ( T. FLORSCHUETZ, R. ADJEI)  (51"57 + 51"85 + 51"62 + 51"83)
3'26"87

RUSSIE 1 ( A. ZUBKOV, A. VOEVODA)  (51"79 + 52"02 + 51"80 + 51"90)
3'27"51

A suivre dès ce soir:

  • Bobsleigh 3ème et 4ème manche
  • Curling: poules Homme et Femme
  • Hockey, poules Homme, demi-finales Femme
  • Patinage artistique, danse originale
  • Patinage de vitesse 1500m Femme, finale
  • Saut à ski K120, équipe Homme
  • Ski de fond, sprint équipe Homme, sprint équipe Femme

La france recule à la 12 ème place au tableau des médailles...

Retrouvez la vidéo rétrospective de la journée olympique grâce à lequipe.fr

http://vancouver2010.lequipe.fr/Aussi/breves2010/20100222_095022_le-journal-des-jeux-en-video.html

A demain pour de nouveaux résultats :)

21 février 2010

JO- Samedi 20 février

8 ème épisode des Jeux Olympiques, et 4 ème journée sans médailles pour le clan français où l'euphorie des premières heures est vite retombée.

En saut à ski K120, le premier français Emmanuel Chedal se classe 13 ème lors de la finale

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En ski acrobatique tremplin féminin , c'est la Bulgare Tsuper sui l'emporte en finale devant les chinoises Li et Guo

Focus sur l'épreuve de ski acrobatique:

Le ski acrobatique est une forme de ski présente aux Jeux olympiques d'hiver, il comprend différentes disciplines : le saut, le half pipe, les bosses, les bosses en parallèle, le ballet et le skicross. Ce sport fut reconnu par la Fédération internationale de ski en 1979

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Les premières traces du ski acrobatique remonte aux années 1920 avec l'Allemand Fritz Rauel qui s'essaya à des figures de patinage mais avec des skis (qu'on appellera plus tard ballet ou acroski), mais ce n'est qu'à partir des années 1960 que cette forme de ski prit un véritable élan, d'une part sur le continent nord-américain où de nombreux spectacles (exhibition) eurent lieu avec épreuves de sauts et de bosses et d'autre part sur le continent européen où de nombreux skieurs cherchent à codifier et à mettre en place de véritables compétitions.

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La coupe du monde est créée en 1976, disputée entre passionnés de ce sport, puis trois ans plus tard en 1979, la FIS reconnut ce sport et intégra cette compétition dans son programme. En 1985, la FIS décida de créer les championnats du monde où la première édition eut lieu à Tignes en 1986. Enfin, le ski acrobatique, après avoir été sport de démonstration aux Jeux olympiques d'hiver de 1988 à Calgary, sera admis au programme olympique à partir de 1992. Seront reconnus comme sport olympique, tout d'abord l'épreuve des bosses en 1992, puis le saut acrobatique en 1994; quant au ballet, il ne fut que sport de démonstration en 1988 et 1992, en revanche, en 2010, le skicross sera inclus au programme olympique.

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On distingue les disciplines suivantes:

  • le saut acrobatique : il s'agit d'exécuter deux sauts sur des tremplins de trois à quatre mètres de hauteur dont la pente est de 67 degrés qui seront jugés par leur degré de difficulté.
  • Les bosses : les scores attribués aux compétiteurs sont le résultat d'une addition de points sanctionnant la vitesse, la technique d'exécution et deux sauts placés sur le parcours. L'épreuve se déroule sur une piste de 250 mètres ( de 24 à 30 degrés) recouvertes de bosses de un mètre de hauteur et larges de 40 centimètres, la piste comprend aussi deux tremplin au 1/3 et 2/3 de la piste sur lesquels le skieur effectue un saut acrobatique. Une autre discipline a les mêmes paramètres mais se disputent en duel qu'on appelle les bosses en parallèle (discipline non retenue aux JO).
  • le skicross : plusieurs skieurs s'élancent en même temps sur un parcours incluant sauts, virages, terrains bosselés, le premier arrivé gagne.
  • Le half-pipe : les compétiteurs sont dans un tube et font une série de sauts et de manœuvres et seront jugés sur leur degré de difficulté et d'exécution.
  • le ballet (ou acroski) : il s'agit d'effectuer des figures sur un thème musical sur une piste de 30 mètres de largeur, 200 mètres de longueur, en pente de 11 à 16 degrés. Cette discipline n'est plus présente aux championnats du monde de ski acrobatique depuis 1999.

    Source: wikipedia

Les principaux résultats de la journée:

Ski acrobatique tremplin Femme:

Finale -  25 février 4h30
 

A. TSUPER  (BLR)
 

N. LI  (CHN)

X. GUO  (CHN)

Saut à ski, Homme K120

Manche finale -  20 février 21h30

S. AMMANN  (SUI)  (144 m + 138 m)
283.600

A. MALYSZ  (POL)  (137 + 133,5)
269.400

G. SCHLIERENZAUER  (AUT)  (130,5 + 136)
262.200

Ski de fond poursuite , Femme 30Kms

Finale -  20 février 22h30

M. HELLNER  (SUE)  (39'43"5 + 35'05"3)
1h15'11"4

T. ANGERER  (ALL)  (39'40"9 + 35'06"6)
1h15'13"5

J. OLSSON  (SUE)  (39'39"9 + 35'09"5)
1h15'14"2

A suivre dès ce soir :

  • Biathlon 12,5 kms départ en ligne Femme, 15kms départ en ligne Homme
  • Bobsleigh équipe (par 2) Homme, manche 1 et 2
  • Curling Homme et Femme, phase de poules
  • Hockey sur glace, Homme et Femme, phase de poules
  • Patinage de vitesse 1500 m Homme finale
  • Ski cross Homme, qualifications + finale
  • Ski alpin, combine Homme

En ski alpin tous les espoirs reposent sur Julien Lizeroux qui disputera ce soir dès 18h30 le super-combiné en espérant rammener une médaille pour la France.

Lizeroux

Au tableau des médailles, la France rétrograde à la 10 ème place...

Retrouvez la vidéo rétrospective de la journée olympique grâce à lequipe.fr:

http://vancouver2010.lequipe.fr/Aussi/breves2010/20100221_111928_le-journal-des-jeux-en-video.html

A demain pour de nouveaux résulats :)

20 février 2010

JO- Vendredi 19 février

7 ème étape des Jeux Olympiques d'hiver de VANCOUVER et 3ème journée sans médailles pour le clan Français.

Le meilleur résultat est à mettre à l'actif du couple Delobel-Schoenfelder en patinage artistique danse imposée qui termine 6 ème à l'issue de la première épreuve.

Delobel

Dans l'épreuve principale de la journée: le SUPER-G, c'est le Norvégien SVINDAL qui s'impose à la suite d'une course parfaitement maîtrisée

svindal

En saut à ski, 3 français sont qualifiés pour la finale, cependant les chances de médaille restent très faible du fait que les 10 meilleurs sauteurs mondiaux entrent directement en finale.

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Focus sur l'épreuve de SKELETON:

Le skeleton est un sport d'hiver individuel qui tout comme le bobsleigh se pratique dans un couloir de glace étroit en descente. Le skeleton se pratique individuellement sur une planche ressemblant à la luge sportive mais contrairement à la luge de course, le skeletoneur se place sur son engin à plat ventre la tête devant.

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La luge, à structure métallique, mesure entre 80 et 120 cm de long et pèse une trentaine de kilos au maximum.

La position qu'adopte le sportif est caractéristique de cette activité, car à la différence du bobsleigh et de la luge de course, le pratiquant doit se trouver à plat ventre, tête tournée vers le bas de la piste.

Le but de cette discipline est de parcourir la descente en un minimum de temps. La piste mesure au minimum 1200 mètres de long avec une dénivellation maximale de 12% environ. Les vitesses atteintes durant la descente sont de l'ordre de 120 à 140 km/h en fonction de la piste. Dans certains virages, le pilote peut subir jusqu'à 5G d'accélération.

Aux Jeux olympiques, le skeleton fit son apparition en 1928, avant de disparaître du programme pendant 20 ans et de nouveau être programmé en 1948 toujours à Saint-Moritz en Suisse. Ce sport sera de nouveau exclu des JO jusqu'en 2002, depuis il a désormais sa place dans cette compétition avec une épreuve pour les hommes et une épreuve pour les femmes.

La discipline est régie par la FIBT qui mis en place des Championnats d'Europe en 1981 puis des Championnats du monde à partir de 1982 et la Coupe du monde qui fut créé en 1989 avec plusieurs rendez-vous annuels (seulement pour les hommes avant qu'en 1999 une coupe du monde féminine apparaisse). À la fin de la saison, un classement général est établi entre les meilleures skeletonneurs(neuses).

Source: Wikipedia

A noter qu'un seul français est engagé pour les Jeux de Vancouver ! Bonne chance à lui !

Les principaux résultats de la journée:

                     Super-G Homme

RangSkieursTemps
1

Aksel Lund SVINDAL (NOR)
1'30''34
2

Bode MILLER (USA)
1'30''62 (+0''28)
3

Andrew WEIBRECHT (USA)
1'30''65 (+0''31)

Patinage artistique- Couple, danse imposée

Classement final -  23 février 6h00

 

ALLEMAGNE ( C. BEIER, W. BEIER)

 

RUSSIE 2 ( O. DOMNINA, M. SHABALIN)

 

UKRAINE 1 ( A. ZADOROZHNIUK, S. VERBILLO)

A noter la défaite de la France en Curling 4-3 face aux Etats-Unis

A suivre dès ce soir:

  • Curling, phase de poules Homme, Femme
  • Hockey, phase de poules Homme, Femme
  • Saut à skis, K120, Homme
  • Skeleton, Homme, Femme, manches
  • Ski acrobatique, qualification Femme
  • Ski de fond, 30kms poursuite Homme, Finale

A retrouver demain: Focus sur l'épreuve de ski acrobatique !

La France reste 7 ème au classement des médailles.

Retrouvez la vidéo rétrospective de la journée olympique grâce à lequipe.fr

http://vancouver2010.lequipe.fr/Aussi/breves2010/20100220_085209_le-journal-des-jeux-en-video.html

A demain pour de nouveaux résultats ;)

19 février 2010

JO- Jeudi 18 février

6 ème étapes des JO ! Et encore une journée blanche pour les français qui ne sont pas parvenus à monter sur le podium Olympique.

Et pourtant on y a cru lorsque Sophie Rodriguez la jeune snowboardeurse de 21 ans s'est qualifiée pour la finale du Half Pipe et terminant 3 ème à l'issue de la première manche.

Malheureusement l'expérience de ses concurrentes a parlé lors de la seconde manche. Elle termine quand même à la cinquième place au général. Honorable !

sophie_rodriguez

Décéption également en Biathlon où aucune nouvelle médaille a été décrochée par un de nos athlètes qui pourtant semblaient avoir les opportunités pour y parvenir.

Focus sur l'épreuve du Short Track:

Le patinage de vitesse sur courte piste (en France le short-track),  est un sport similaire au patinage de vitesse longue piste, se pratiquant sur glace dans une patinoire standard sur une piste en forme d'anneau de 111,12 mètres de circonférence, où 2 à 8 patineurs s'affrontent. Les vitesses de ce sport grisant peuvent atteindre les 55 à 60 km/h. C'est ce qui donne la principale caractéristique de ce sport : réussir à maintenir une vitesse élevée tout en patinant sur une piste très serrée.

Les patins du short track peuvent être confondus avec des patins de patinage de vitesse. Or, ils sont très différents. Les virages sont quatre fois plus serrés qu'au patinage de vitesse. Les lames du patinage de vitesse subissent divers réglages pour aider les patineurs dans leur virage. Elles sont spécifiques à ce sport.

Short_Track

Vu que les patineurs atteignent des vitesses élevées et qu’il est difficile de garder le contrôle, des réglages s’imposent sur la lame du patineur. Au fil du temps, quatre modifications se sont développées et qui sont aujourd’hui indispensables. Tout d’abord, les lames des patineurs sont surélevées comparé aux lames du patinage de vitesse longue piste. Deuxièmement, la lame est décentrée vers la gauche, ce qui permet au patineur de se pencher davantage pour s'opposer à la force centrifuge (c'est le même principe qu'en cyclisme dans les virages). Troisièmement, la lame n’est pas parfaitement droite : on la « courbe », c'est-à-dire que l’on traite littéralement la lame pour qu’elle suive naturellement un parcours courbe (De son point de vue au-dessus de la lame, elle n'est pas un segment de droite mais un arc léger vers la gauche). Dans le jargon des patineurs, cette modification s'appelle une "banane". Quatrièmement, grâce à une machine spécialisée, on gruge la lame pour qu'elle prenne la forme d'un arc léger, plus haut au centre de la lame, plus bas sur les extrémités, pour avoir une meilleure stabilité dans les virages et une meilleure poussée dans les lignes droites, qu'on appelle dans le jargon un berceau. Ces quatre modifications font en sorte que les patineurs ont plus de facilité à contrôler leurs virages. Et même avec ces innovations, il reste difficile de contrôler ces virages extrêmement serrés.

Source: Wikipedia

Les principaux résultats de la journée:

Half Pipe Femme

Finale -  19 février 3h00

T. BRIGHT  (AUS)  (5,9 + 45)
45.000

H. TETER  (USA)  (42,4 + 39,2)
42.400

K. CLARK  (USA)  (25,6 + 42,2)
42.200

J. LIU  (JAP)  (39,3 + 34,9)
39.300

S. RODRIGUEZ  (FRA)  (34,4 + 8,3)
34.400

Biathlon 15kms Femme

Finale -  18 février 19h00

T. BERGER  (NOR)  (1 minute de pénalité)
40'52"8

E. KHRUSTALEVA  (KAZ)  (0)
41'13"5

D. DOMRACHEVA  (BLR)  (1)
41'21"0

Biathlon 20kms Homme

Finale -  18 février 22h00

E. SVENDSEN  (NOR)  (1 minute de pénalité)
48'22"5

O. BJOERNDALEN  (NOR)  (2)
48'32"00

S. NOVIKOV  (BLR)  (0)
48'32"00

Ski alpin- Combiné Femme

RangSkieursTemps
1

Maria RIESCH (ALL)
2'09''14
2

Julia MANCUSO (USA)
2'10''08 (+0''94)
3

Anja PAERSON (SUE)
2'10''19 (+1''05)

A suivre dès ce soir:

  • Ski alpin. Super G Homme
  • Ski de fond, 15 kms poursuite Femme
  • Skeleton qualification Homme et Femme
  • Saut à ski K120 qualification Homme
  • Hockey sur glace: poules
  • Curling: poules

La france est 7ème au tableau des médailles

Demain FOCUS sur l'épreuve de SKELETON.

Retrouvez la vidéo rétrospective de la journée grâce à lequipe.fr

http://vancouver2010.lequipe.fr/Aussi/breves2010/20100219_095033_le-journal-des-jeux-en-video.html

A demain pour de nouveaux résultats !

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